De Moïse à Jésus-Christ, commémorer la Pâques pour la mission divine

Thème : De Moïse à Jésus-Christ, commémorer la Pâques pour la mission divine

Textes bibliques : 1Corinthiens 5:7, Colossiens 2:12 

Prédicateur : Past. Pacifique MULUMBA 

Résumé du message :  

As-tu déjà goutté combien Jésus est bon ? 

Vous savez quand on n’a jamais goutté un plat spécifique, on ne réalise pas combien il peut être délicieux, on croit tout et n’importe quoi le concernant parce qu’on n’a jamais expérimenté personnellement la dégustation de ce plat. Il en va de même pour ceux qui ne savent pas quel goût a le Christ, ils ne réalisent pas l’infinie bonté du Christ au fait. 

Quand on goutte au Christ, quand on saisit et réalise la puissance de la résurrection, nos vies changent du tout autour: 

  • Les priorités changent quand on goutte au Christ : 

En effet, en suivant Jésus, Pierre s’attendait à devenir riche, plein aux as mais en le côtoyant plus, la Bible nous montre que lorsque Pierre était à la tête de l’Eglise, la gestion des finances fut le cadet de ses soucis, car ses priorités étaient devenues toutes autres. 

  • Quand on expérimente la bonté du Christ, même la mort ne nous effraie plus : 

L’histoire de la fin tragique d’Etienne peut nous éclairer sur ce point. En effet Etienne est considéré comme le premier martyr chrétien, ceux qui le persécutaient lui offrirent l’occasion de renoncer à sa foi mais qu’a-t-il répondu? « Je vois le ciel s’ouvrir pour moi et je vois Jésus  debout à la droite de Dieu». 

  • De l’amertume à un assaisonnement parfait :

Après avoir marché trois jours dans le désert sans boire ni manger, le peuple juif aperçut une rivière dont l’eau était amère: Mara; Dieu demanda à Moïse de plonger dans cette eau un morceau de bois vert et le goût fut changé, l’eau devint buvable. Jésus est ce bois vert qui, sur la cois a ingurgité le vinaigre pour que nous n’ayons plus jamais d’amertume dans nos vies.   

Sachons-le chers lecteurs, la vie chrétienne doit donner le goût au monde, nous sommes des arbres tels des baobabs dont l’ombre doit servir d’abri pour plusieurs. Le péché imprègne d’amertume la vie de celui qui le pratique, mais sachons que l’agneau que l’on mange à la Pâques est sans défaut et d’un goût exquis. 

La rédaction      

Commentaires (0)

  1. Aucun commentaire pour l'instant...